La formation à la mise en œuvre de bonnes pratiques agricoles favorisera une production de café plus durable : ressources naturelles protégées, développement socio-économique pérenne (intégration des femmes pour renforcer les capacités au niveau de l’exploitation) et meilleure résilience des terres face aux enjeux climatiques.
Les efforts de reboisement seront poursuivis dans les espaces protégés. Les arbres forestiers seront plantés dans des zones dégradées et déboisées afin de régénérer la forêt et préserver la biodiversité. Les plantations contribueront aussi à la protection des sources d’eau, indispensables au secteur agricole.
Au cours des quatre dernières années, le Honduras a connu une croissance soutenue de ses zones de production de café. Si cette situation est bénéfique pour le développement agricole et socio-économique du pays, elle crée également des risques environnementaux.
La transformation de la végétation naturelle en cultures agricoles (café, mais aussi maïs, haricots et riz) et de mauvaises pratiques agricoles participent à la diminution et à la contamination des réserves d’eau, ainsi qu’à l’appauvrissement de la biodiversité.